DOC ELEC
– Accéder aux contenus de Google Print a priori non disponibles hors des USA, c’est possible, c’est expliqué sur Archivalia
– On peut faire de plus en plus de choses avec Zotero (j’y reviendrai), et pour commencer, se familiariser avec cet outil de gestion des références bibliographiques en consultant le manuel d’utilisation en français qui vient d’être mis à jour par la bibliothèque centrale des Hospices Civils de Lyon.
– Pas trop tôt : Persée et Revues.orgse sont mis sur la même longueur d’onde, et proposent une continuité d’accès aux revues qu’ils diffusent en commun (le courant sur Revues.org, le rétrospectif sur Persée). Et si je ne m’abuse, une collaboration du même genre est prévue entre Revues.org et Cairn, le troisième larron de l’édition électronique en SHS. Tant mieux, ça sera plus clair pour les utilisateurs (et plus facile à expliquer pour ceux qui les forment, accessoirement).
– Plein de nouvelles fonctionnalités pour TicTocs annoncées sur le blog du projet : une meilleure indexation, des alertes par e-mail, une recherche par mots-clés sur les titres de revues, une API, peut-être un support pour COinS/OpenURL… cool.
– L’ONU propose de nouveaux outil pour explorer ses fonds juridiques : un moteur de recherche et un portail d’accès à ses différentes bases, notamment. Pas très funky comme interfaces, mais efficace sans doute.
2.0
– De nouveaux entrants sur Twitter : la Bibliothèque du Congrès (info annoncée sur son blog), et le projet Gutenberg.
OA & AO
– J’avais zappé Open economics, un projet de diffusion ouverte de données économiques, ainsi que du code d’applications créées pour utiliser ces données (pour faire des graphiques, des tableaux, etc)
– La thèse de Sebastian Boell (déposée sur E-LIS bien sûr !) expose que 16% des revues en sciences de l’info et des bibliothèques sont en open access – vraiment pas terrible, ça correspond grosso modo au pourcentage d’auto-archivage dans les archives ouvertes lorsqu’il n’y a pas d’obligation de dépôt (tiens, bizarre que je fasse ce lien, ça n’a sans doute rien à voir, quoi que…)
– Le JISC et le ministère de l’enseignement supérieur du Royaume Uni lancent un projet sur l’impact des contenus pédagogiques ouverts/libres sur la population non-universitaire, et les moyens de « contextualiser » cette information pour qu’elle puisse bénéficier au grand public, plus de détail dans cet article du Guardian.
[photos : stefan.eissing]
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