Non, je ne vais pas vous parler du secrétaire du PS, mais de notre éditeur scientifique préféré, Elsevier :
– La BU de Cambridge (UK) vient d’annoncer son acquisition de la totalité des archives de Science Direct, en plus de ses abonnements courants. Bien sûr pas d’info sur le coût de l’opération, mais si une seule université peut se le payer, ça ne doit pas être insurmontable ? Quoi que, comme le soulignait encore récemment le fameux rapport de la Cour des Comptes, en matière de budgets d’acquisition, nous n’avons pas les mêmes valeurs que nos collègues européens… Là où c’est de toutes façons une « bonne » opération, c’est qu’en s’abonnant à Science Direct, on est sûr d’avoir accès à tous les titres du catalogue, tout le temps. Ce qui n’est visiblement pas le cas quand on s’abonne à la Freedom collection, si l’on en croit les débats en cours sur la BIMPE : la collection en question ne serait en effet pas des plus stables ; des titres entrent et sortent régulièrement, les accès varient selon les établissements… Finalement, l’UTL (Unique Title List) qui était proposée au départ n’était peut-être pas une si mauvaise solution ?
– Un accès aux pre-prints validés par les revues du groupe (« Accepted manuscripts ») depuis Science Direct (communiqué de presse) est proposé depuis février, ainsi qu’une fonctionnalité d’export direct dans Refworks
– Encore une analyse de Scopus
– Et pour finir une présentation sur l’archivage des publications électroniques par la Bibliothèque Nationale de Hollande, proposée lors de la 8ème conférence internationale de Bielefeld (ALL), dont une partie des interventions est archivée dans E-LIS.
Update : toutes les interventions de la 8ème conférence de Bielefeld sont disponibles à l’adresse http://tinyurl.com/ksoc4
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