Des nouvelles de la British Library ces jours-ci :
– Elle a signé un accord de partenariat avec Google Scholar pour qu’un lien vers son service de fourniture de documents (BL Direct) apparaisse dans les résultats de recherche sur le moteur (signalé par Miklos)
– Elle a mis en place sa propre archive ouverte, qui accueille les contributions de chercheurs qui ne sont pas affiliés à une institution ainsi que d’autres documents non validés, comme ceux liés aux différentes conférences qu’organise la bibliothèque tous les ans. Je n’ai pas réussi à aller sur le site, le lien ne fonctionne pas, je ne sais pas si ça vient de mon réseau ou de leur serveur, à suivre.
Dans le domaine des bibliothèques, une archive de ce type peut s’avérer particulièrement utile, par exemple pour les bibliothécaires qui publient dans le cadre de leur pratique professionnelle, et pas d’un travail de recherche proprement dit. Le problème, c’est que les éditeurs n’autorisent généralement l’auto-archivage de pre- & post-prints que dans des archives institutionnelles ou sur les sites web personnels des auteurs, et apparemment pas encore dans les archives disciplinaires : c’est ce que vient de constater Family man librarian, qui voulait archiver sur E-LIS un article publié précédemment dans Serials Review, une revue Elsevier.
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