« J’ai trouvé bon nombre de ces sites attractifs au premier abord, et j’ai apprécié de m’y aventurer. Mais maintenant que j’ai testé ces plateformes, revenir à Facebook, c’est un peu comme rentrer à la maison. C’est vrai que je ne peux pas y trouver les autres chercheurs qui partagent mes centres d’intérêt. Mais si l’on considère le nombre d’autres moyens que j’ai de les trouver – entre les publications, les blogs et les conférences -, ai-je réellement besoin d’un réseau social de plus ? »
C’est la conclusion à laquelle arrive Kim Leeder, après avoir dressé un panorama des réseaux sociaux dédiés aux universitaires dans cet article du blog In the library with the lead pipe.