Pour inciter les chercheurs à déposer dans des archives ouvertes, il y a les mandats institutionnels. Mais il pourrait y avoir aussi une évolution des fonctionnalités et/ou des types d’archives disponibles. Dans ce post, M. Fenner liste une série de possibilités d’enrichissement, essentiellement dans le domaine biomédical :
– L’hébergement de sets de données de recherche
– La création d’une archive disciplinaire pour la recherche biomédicale : en effet, PubMed Central et UK PubMed Central n’accueillent que les articles qui ont été financés par certains organismes.
– La création d’une archive pour les pré-publications d’essais cliniques, un peu comme ArXiv le fait pour la physique.
– Le fait que plus d’éditeurs autorisent l’auto-archivage
– Une intégration des archives dans le processus de soumission des articles
– Une intégration dans l’annuaire de la recherche des institutions (cf BibApp)
– L’usage d’un identifiant unique pour l’attribution des citations (cf ORCID, dont MF est l’un des principaux promoteurs).
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