Imaginez un avenir dans lequel vous vous rendez à la bibliothèque avec une vidéo de 5 minutes que vous venez de faire sur les débats présidentiels de la veille, et que le bibliothécaire vous dise :
« Vous devriez la télécharger sur YouTube et lui ajouter ces 4 mots-clé (2 termes assez larges et 2 plus spécifiques aux communautés d’intérêt existant sur YouTube et sur le thème de votre vidéo). Et puis vous devriez insérer cette vidéo dans un billet de blog avec un petit texte d’introduction, et des liens vers vos billets favoris sur d’autres blogs ayant également réagi à propos des débats d’hier. N’oubliez pas de faire des rétroliens vers ces billets ! »
Vu sur ReadWriteWeb.
Marlène's corner 
Je suis effectivement d’accord avec le commentaire précédent : « pourquoi se rendre à la bibliothèque pour ça ? les étudiants connaissent you tube ».
Pour rester dans le milieu professionnel et scientifique qui nous caractérise (n’est ce pas Marlène ?), je dirais :
« Imaginons un enseignant chercheur qui vient avec une video de sa communication à un congrès ou son cours », là on pourrait lui dire :
« Vous devriez la télécharger sur Scivee et lui ajouter tels et tels mots clés. Et puis vous devriez insérer cette vidéo dans un billet de blog avec un petit texte d’introduction, et des liens vers vos billets favoris sur d’autres blogs ayant également réagi à propos des débats au congrès. N’oubliez pas de faire des rétroliens vers ces billets ! »
Bonjour
Mais pourquoi se rendre à la bibliothèque ???
Et quelle bibliothèque ? quel type de bibliothèque ? (Physique ou virtuelle… zut, les virtuelles n’existent pas encore)
Ah oui, je précise qu’il faut mettre « sexe » dans les termes assez larges. :o)
Avec débats présidentiels, le taux d’écoute devrait être trois poils plus élevés.
Problème : on risque d’être interdit par tous les systèmes de filtrage.
Pas simple, pas simple, de choisir le bon tag.
En bibliothèque, on préfère le mot « curiosité ». Voilà un tag qui devrait faire fureur lorsque les internautes le connaîtront.
Bien cordialement
B. Majour
Ben c’est déjà comme ça que ça se passe, non ??…. Ah pardon…