« EBSCO est déjà la seule ressource qui permette aux bibliothèques de proposer à leurs usagers un accès en ligne à la plupart des grandes revues généralistes, et nous savions que si nous ne garantissions pas les contenus dont il est question ici, les clients d’EBSCO se verraient dans l’obligation de souscrire des accès via un second agrégateur. Au lieu de cela, les bibliothèques font des économies, puisque cet accord d’exclusivité leur évite de dupliquer les abonnements pour des ressources en texte intégral. On peut comprendre que cela agaçe Gale, mais la réalité est que cette société a elle aussi eu la possibilité de faire les investissements nécessaires pour assurer une exclusivité de diffusion à ses clients. [mais elle n’a pas remporté l’appel d’offres, ndlt] Il va d’ailleurs être intéressant de voir sir Gale va proposer des réductions substantielles à ses clients actuels, maintenant qu’elle n’a plus à payer les droits pour les revues les plus importantes. »
Extrait de la réponse d’Ebsco à la lettre ouverte pour un accès juste à l’information adressée par son concurrent Gale, suite à l’annonce de l’accord d’exclusivité conclu entre une trentaine de revues et Ebsco.
[photo : g_cowan]
0 Réponses to “Economies(bien) cachées”